La fédération CGT ne s'oppose pas aux deux accords d'entreprise signés, le 8 décembre 2006, à La Poste, l'un sur la mise en place d'un PEG (plan d'épargne groupe), l'autre sur celle d'un PERCO. Non signataires de ces accords, la CGT, premier syndicat de La Poste (34 % des voix aux élections professionnelles), et SUD, qui totalisent plus de la moitié des voix aux élections professionnelles, disposaient de 10 jours pour faire valoir le droit d'oppositon et rendre ainsi caducs ces accords, signés par la direction et quatre organisations syndicales (CFDT, CFTC, CGC, UNSA).