Vie professionnelle : comment dire non ?
Mis à jour le 14 Juin 2022
julien.estephan
Garder le contrôle de son emploi du temps et de sa productivité repose sur quelques savoir-faire très simples. Parmi eux, l’un des plus importants consiste à savoir dire non à ses collègues ou à son supérieur. Bien sûr, il s’agit de le faire au bon moment et de la bonne manière.
Pourquoi dire non ?
Ne pas savoir dire non nous amène bien souvent à avoir des journées extrêmement chargées et peu productives. Balloté d’une sollicitation à une autre, on change de tâche très rapidement sans avoir le temps de finir quoi que ce soit. C’est une situation paradoxale où l’on cherche à bien faire et à plaire à chacun en acceptant toutes les demandes qui nous sont faites mais où l’on finit par être moins efficace et donc moins utile aux autres.
D’où vient la peur de dire non ?
Les personnes qui refusent de dire non pensent parfois que refuser une tâche est une faute professionnelle qui pourrait bien leur coûter leur travail. Ils peuvent également penser qu’ils décevraient ainsi leurs collègues et leurs supérieurs. Mais savoir dire non est en réalité souvent perçu comme une qualité : pour les personnes à qui l’on confie de fortes responsabilités, refuser des tâches est la condition de la réussite de celles que l’on a en cours.
Hiérarchiser ses tâches
Pour savoir à quel moment il est nécessaire de dire “non”, il vous faudra d’abord hiérarchiser vos tâches de la journée ou de la semaine et vous fixer des objectifs. Si le timing d’une demande n’est pas bon et que la satisfaire vous empêcherait d’atteindre les objectifs que vous vous êtes fixés, alors c’est le moment de dire “non”. Si vous pensez avoir le temps de faire la tâche que l’on vous demande mais que celle-ci vous semble de moindre importance, vous pouvez alors accepter mais en refusant de la faire passer avant vos objectifs personnels.
Mettre les formes
Dire “non” tout simplement sans expliquer pourquoi on refuse de faire une tâche est une manière infaillible de générer des tensions pouvant déboucher sur un conflit ouvert. C’est pourquoi il est indispensable de communiquer sur les raisons de son refus. Vous pouvez par exemple le justifier auprès de votre supérieur en lui parlant des objectifs de long terme que vous vous êtes fixés et de votre emploi du temps surchargé.
Proposer une alternative
Si vous ne pouvez répondre favorablement à une demande, une manière courtoise de décliner consiste à proposer une solution alternative. Vous pouvez par exemple rediriger votre supérieur vers une autre personne compétente et plus disponible ou bien proposer de fournir votre expertise d’une autre manière, moins chronophage pour vous. Vous pouvez également proposer à vos collaborateurs de décaler la réalisation de cette tâche à un moment plus favorable pour vous.
Pourquoi dire non ?
Ne pas savoir dire non nous amène bien souvent à avoir des journées extrêmement chargées et peu productives. Balloté d’une sollicitation à une autre, on change de tâche très rapidement sans avoir le temps de finir quoi que ce soit. C’est une situation paradoxale où l’on cherche à bien faire et à plaire à chacun en acceptant toutes les demandes qui nous sont faites mais où l’on finit par être moins efficace et donc moins utile aux autres.
D’où vient la peur de dire non ?
Les personnes qui refusent de dire non pensent parfois que refuser une tâche est une faute professionnelle qui pourrait bien leur coûter leur travail. Ils peuvent également penser qu’ils décevraient ainsi leurs collègues et leurs supérieurs. Mais savoir dire non est en réalité souvent perçu comme une qualité : pour les personnes à qui l’on confie de fortes responsabilités, refuser des tâches est la condition de la réussite de celles que l’on a en cours.
Hiérarchiser ses tâches
Pour savoir à quel moment il est nécessaire de dire “non”, il vous faudra d’abord hiérarchiser vos tâches de la journée ou de la semaine et vous fixer des objectifs. Si le timing d’une demande n’est pas bon et que la satisfaire vous empêcherait d’atteindre les objectifs que vous vous êtes fixés, alors c’est le moment de dire “non”. Si vous pensez avoir le temps de faire la tâche que l’on vous demande mais que celle-ci vous semble de moindre importance, vous pouvez alors accepter mais en refusant de la faire passer avant vos objectifs personnels.
Mettre les formes
Dire “non” tout simplement sans expliquer pourquoi on refuse de faire une tâche est une manière infaillible de générer des tensions pouvant déboucher sur un conflit ouvert. C’est pourquoi il est indispensable de communiquer sur les raisons de son refus. Vous pouvez par exemple le justifier auprès de votre supérieur en lui parlant des objectifs de long terme que vous vous êtes fixés et de votre emploi du temps surchargé.
Proposer une alternative
Si vous ne pouvez répondre favorablement à une demande, une manière courtoise de décliner consiste à proposer une solution alternative. Vous pouvez par exemple rediriger votre supérieur vers une autre personne compétente et plus disponible ou bien proposer de fournir votre expertise d’une autre manière, moins chronophage pour vous. Vous pouvez également proposer à vos collaborateurs de décaler la réalisation de cette tâche à un moment plus favorable pour vous.
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