5 conseils pour négocier votre augmentation
Mis à jour le 14 Juin 2022
julien.estephan
Cela fait un certain temps déjà que vous occupez votre poste et vous pensez pouvoir prétendre à une revalorisation de votre salaire. Aborder la question avec vos responsables peut être délicat et demande donc de la méthode. Voici 5 conseils pour mener à bien cette négociation cruciale.
1. Trouvez le moment opportun
Décrocher une augmentation est parfois une question de timing. Votre entretien annuel est par exemple une circonstance idéale pour aborder le sujet. Si celui-ci est trop éloigné dans le temps, il vous faudra prendre l’initiative d’un rendez-vous : il vous faudra alors apprécier le contexte global de votre entreprise et de votre service. La société qui vous emploie est-elle dans une période économique ? Votre service réalise-t-il de bonnes performances ? Votre demande sera reçue bien plus favorablement si c’est le cas. En cas de difficultés économiques passagères, il vaut mieux retarder l’initiative de quelques mois pour augmenter vos chances de réussite.
2. Mettez en avant ce que vous avez accompli
Une augmentation vient récompenser l’effort fourni et ses résultats. N’hésitez donc pas à motiver votre demande en l’appuyant sur des éléments factuels : chiffres favorables, retours positifs de la part de clients, évocation du temps passé pour mener à bien certains projets, etc. Ces arguments ne sont en eux-mêmes pas suffisants, mais ils pèseront lourd dans la balance.
3. Fixez-vous un objectif
Pour arriver à un résultat satisfaisant, il sera utile de démarrer la négociation avec un objectif concret en tête, c’est-à-dire un montant à partir duquel vous considérerez que votre travail a été apprécié à sa juste valeur. Si une augmentation de 10% peut par exemple vous satisfaire, commencez les négociations en évoquant une hausse de 15%, vous vous ménagerez ainsi une marge de manœuvre en cas de refus de votre responsable.
4. Ne négligez pas les avantages
Si le montant de votre salaire est un enjeu crucial, les avantages en nature peuvent parfois être plus intéressants qu’une revalorisation financière. Hausse des cotisations à votre caisse de retraite, carte de carburant, jours de télétravail, financement d’une formation, primes et stock-options sont autant d’objets de négociation qui vous seront peut-être accordés plus facilement qu’une augmentation.
5. Situez-vous dans la grille des salaires
Votre objectif dépend de vos réalisations mais aussi des rémunérations pratiquées dans votre secteur et dans votre entreprise. Renseignez-vous sur les salaires de vos prédécesseurs à votre poste ou de vos collègues. Consultez les études des cabinets de recrutement relatives aux rémunérations et les offres d’emploi pour des postes similaires au vôtre. Vous pourrez ainsi vous situer dans la fourchette des salaires propre à votre profession et adapter vos prétentions en fonction de celle-ci.
1. Trouvez le moment opportun
Décrocher une augmentation est parfois une question de timing. Votre entretien annuel est par exemple une circonstance idéale pour aborder le sujet. Si celui-ci est trop éloigné dans le temps, il vous faudra prendre l’initiative d’un rendez-vous : il vous faudra alors apprécier le contexte global de votre entreprise et de votre service. La société qui vous emploie est-elle dans une période économique ? Votre service réalise-t-il de bonnes performances ? Votre demande sera reçue bien plus favorablement si c’est le cas. En cas de difficultés économiques passagères, il vaut mieux retarder l’initiative de quelques mois pour augmenter vos chances de réussite.
2. Mettez en avant ce que vous avez accompli
Une augmentation vient récompenser l’effort fourni et ses résultats. N’hésitez donc pas à motiver votre demande en l’appuyant sur des éléments factuels : chiffres favorables, retours positifs de la part de clients, évocation du temps passé pour mener à bien certains projets, etc. Ces arguments ne sont en eux-mêmes pas suffisants, mais ils pèseront lourd dans la balance.
3. Fixez-vous un objectif
Pour arriver à un résultat satisfaisant, il sera utile de démarrer la négociation avec un objectif concret en tête, c’est-à-dire un montant à partir duquel vous considérerez que votre travail a été apprécié à sa juste valeur. Si une augmentation de 10% peut par exemple vous satisfaire, commencez les négociations en évoquant une hausse de 15%, vous vous ménagerez ainsi une marge de manœuvre en cas de refus de votre responsable.
4. Ne négligez pas les avantages
Si le montant de votre salaire est un enjeu crucial, les avantages en nature peuvent parfois être plus intéressants qu’une revalorisation financière. Hausse des cotisations à votre caisse de retraite, carte de carburant, jours de télétravail, financement d’une formation, primes et stock-options sont autant d’objets de négociation qui vous seront peut-être accordés plus facilement qu’une augmentation.
5. Situez-vous dans la grille des salaires
Votre objectif dépend de vos réalisations mais aussi des rémunérations pratiquées dans votre secteur et dans votre entreprise. Renseignez-vous sur les salaires de vos prédécesseurs à votre poste ou de vos collègues. Consultez les études des cabinets de recrutement relatives aux rémunérations et les offres d’emploi pour des postes similaires au vôtre. Vous pourrez ainsi vous situer dans la fourchette des salaires propre à votre profession et adapter vos prétentions en fonction de celle-ci.
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