Ouverture prochaine à Mulhouse d’un Orientoscope
Mis à jour le 14 Juin 2022
Anonyme (non vérifié)
Initiative unique en France, l'Orientoscope ouvrira ses portes courant février 2010 dans les locaux de la SIM (société industrielle de Mulhouse). Copiloté par la CCI Sud Alsace-Mulhouse et l'Agefa PME (Association pour la promotion et le développement de l'apprentissage et de l'enseignement professionnel), cet espace sera consacré aux branches professionnelles désirant présenter leurs métiers et les moyens d’y parvenir. Un espace d’ores et déjà présenté comme « multipartenarial » et « neutre »
• Une initiative unique en France
Cette maison, « unique en France », est l’aboutissement d’une idée émise « il y a trois ans » par le président de la CCI Sud Alsace-Mulhouse, Jean-Pierre Gallo, puis testée à l'occasion de l'opération « Place des métiers » en novembre 2008. L’Orientoscope associe près d’une quarantaine de partenaires, des branches professionnelles (UIMM, bâtiment, hôtellerie-restauration, etc.) et des institutions (Greta, Medef, CGPME, fédérations de parents d'élèves, etc.).
• Un espace dédié en priorité aux jeunes
L’Orientoscope est un espace qui veut d’abord toucher les jeunes. La responsable de la communication de ce nouvel ensemble, Céline Portal, a fait le constat qu’en se projetant dans le monde professionnel, ceux-ci « se font souvent des idées fausses et vivent parfois dans un monde imaginaire. »
L’intérêt de cette maison est de leur faire découvrir les métiers par des « expérimentations concrètes » et des « rencontres avec les professionnels des entreprises », plutôt que par des « fiches techniques.»
• Un parcours en quatre étapes
Avec un budget annuel de fonctionnement estimé à 400 000 euros, l’Orientoscope s’est installé à quelques encablures de la gare de Mulhouse dans un local de 650m2. Plusieurs espaces seront ainsi aménagés : un espace documentation / multimédia / conseil avec six à huit postes informatiques en libre accès, des bureaux pour les entretiens personnalisés, ainsi que deux grandes salles dévolues à l'événementiel.
S’adressant en priorité aux jeunes mais également aux demandeurs d’emplois et aux adultes en reconversion, l’Orientoscope proposera un parcours découpé en quatre étapes successives :
- Découvrir un métier : Une approche « ludique, interactive et dynamique » sera privilégiée à travers des mises en scène, ateliers, démonstrations et animations proposées par les branches professionnelles (selon un calendrier hebdomadaire).
- Tester ses aptitudes : Un point sera fait sur les aptitudes du candidat, qui sera suivi par une mise en relation avec les partenaires de l’emploi et de la formation. « Des tests d'orientation et de simulation, ainsi que des stages en entreprise, permettront de valider un savoir-faire et une affinité avec le métier choisi » précise Céline Portal.
- Trouver une formation : Cette formation pourra être initiale, continue ou en alternance, elle devra simplement correspondre au métier sélectionné. Le candidat pourra être mis en relation avec les partenaires institutionnels s’il a besoin d’un accompagnement personnalisé ou de l’éclairage d’un professionnel.
- Rechercher un emploi : Conseils et orientations seront distillés avec pertinence pour aider les candidats à trouver un contrat en apprentissage, décrocher un stage, rédiger un CV et le déposer en ligne, ou encore préparer un entretien d'embauche (ateliers pratiques, contacts établis avec les partenaires, etc.).
• Relever le défi de la communication
Le démarrage de l’Orientoscope se fera le 22 février 2010 par une semaine « métallurgie ». Appelée à gérer le flux et les inscriptions jusqu’au jour du grand lancement, l’équipe en charge de cette maison doit également relever le défi de la communication.
Ainsi, le rectorat de l'académie de Strasbourg communiquera les dates des événements plus de deux mois à l'avance aux collèges et aux lycées, pour faciliter la préparation.
Pour toucher les ’15-25’ ans, un autre axe de communication est prévu : utiliser les réseaux sociaux Facebook et Twitter. « À l'heure où les jeunes lisent de moins en moins, nous proposerons des vidéos de présentation de l'Orientoscope pour les faire venir », conclut Céline Portal.
• Une initiative unique en France
Cette maison, « unique en France », est l’aboutissement d’une idée émise « il y a trois ans » par le président de la CCI Sud Alsace-Mulhouse, Jean-Pierre Gallo, puis testée à l'occasion de l'opération « Place des métiers » en novembre 2008. L’Orientoscope associe près d’une quarantaine de partenaires, des branches professionnelles (UIMM, bâtiment, hôtellerie-restauration, etc.) et des institutions (Greta, Medef, CGPME, fédérations de parents d'élèves, etc.).
• Un espace dédié en priorité aux jeunes
L’Orientoscope est un espace qui veut d’abord toucher les jeunes. La responsable de la communication de ce nouvel ensemble, Céline Portal, a fait le constat qu’en se projetant dans le monde professionnel, ceux-ci « se font souvent des idées fausses et vivent parfois dans un monde imaginaire. »
L’intérêt de cette maison est de leur faire découvrir les métiers par des « expérimentations concrètes » et des « rencontres avec les professionnels des entreprises », plutôt que par des « fiches techniques.»
• Un parcours en quatre étapes
Avec un budget annuel de fonctionnement estimé à 400 000 euros, l’Orientoscope s’est installé à quelques encablures de la gare de Mulhouse dans un local de 650m2. Plusieurs espaces seront ainsi aménagés : un espace documentation / multimédia / conseil avec six à huit postes informatiques en libre accès, des bureaux pour les entretiens personnalisés, ainsi que deux grandes salles dévolues à l'événementiel.
S’adressant en priorité aux jeunes mais également aux demandeurs d’emplois et aux adultes en reconversion, l’Orientoscope proposera un parcours découpé en quatre étapes successives :
- Découvrir un métier : Une approche « ludique, interactive et dynamique » sera privilégiée à travers des mises en scène, ateliers, démonstrations et animations proposées par les branches professionnelles (selon un calendrier hebdomadaire).
- Tester ses aptitudes : Un point sera fait sur les aptitudes du candidat, qui sera suivi par une mise en relation avec les partenaires de l’emploi et de la formation. « Des tests d'orientation et de simulation, ainsi que des stages en entreprise, permettront de valider un savoir-faire et une affinité avec le métier choisi » précise Céline Portal.
- Trouver une formation : Cette formation pourra être initiale, continue ou en alternance, elle devra simplement correspondre au métier sélectionné. Le candidat pourra être mis en relation avec les partenaires institutionnels s’il a besoin d’un accompagnement personnalisé ou de l’éclairage d’un professionnel.
- Rechercher un emploi : Conseils et orientations seront distillés avec pertinence pour aider les candidats à trouver un contrat en apprentissage, décrocher un stage, rédiger un CV et le déposer en ligne, ou encore préparer un entretien d'embauche (ateliers pratiques, contacts établis avec les partenaires, etc.).
• Relever le défi de la communication
Le démarrage de l’Orientoscope se fera le 22 février 2010 par une semaine « métallurgie ». Appelée à gérer le flux et les inscriptions jusqu’au jour du grand lancement, l’équipe en charge de cette maison doit également relever le défi de la communication.
Ainsi, le rectorat de l'académie de Strasbourg communiquera les dates des événements plus de deux mois à l'avance aux collèges et aux lycées, pour faciliter la préparation.
Pour toucher les ’15-25’ ans, un autre axe de communication est prévu : utiliser les réseaux sociaux Facebook et Twitter. « À l'heure où les jeunes lisent de moins en moins, nous proposerons des vidéos de présentation de l'Orientoscope pour les faire venir », conclut Céline Portal.
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