Comment et quand relancer un recruteur après l'entretien
Mis à jour le 14 Juin 2022
julien.estephan
Si un entretien se termine par la fameuse phrase “on vous tiendra au courant” mais que vous n’êtes pas rappelé dans les jours suivants ou dans le délai annoncé, relancer le recruteur peut être décisif. C’est un bon moyen de vous démarquer des autres candidats en démontrant votre proactivité et votre motivation. A condition de respecter certaines règles.
Attendre le moment propice
Tout l’art de la relance réside dans le choix du timing : il s’agit de ne relancer ni trop tôt, ni trop tard. Bien sûr ce savant dosage dépend des circonstances. On ne peut par exemple pas s’attendre au même délai de réponse de la part d’un grand groupe et d’une start-up. Le premier doit suivre des processus de recrutement extrêmement rigoureux et parfois longs tandis que la dernière peut être plus réactive. Le moment propice dépend également du poste que vous convoitez, s’il est à pourvoir immédiatement, vous pouvez relancer votre interlocuteur assez rapidement, à partir de 48h après l’entretien. Mais si le processus de recrutement semble peu urgent, il est de bon ton de laisser s’écouler trois ou quatre jours ouvrables. Avant ce délai, le risque est de faire peser une pression excessive sur votre interlocuteur et de l’irriter. Dans la plupart des cas, une relance au-delà de dix jours sera quant à elle trop tardive. Pour bien choisir son moment, l’idéal est bien sûr de demander lors de l’entretien une estimation du délai sous lequel on vous répondra.
Renouveler sa motivation
Un mail de relance ne doit pas se contenter de demander des nouvelles du processus du recrutement. Il est important de renouveler votre motivation pour le poste et de montrer que les informations que vous avez tirées de l’entretien vous ont confirmé dans vos intentions. N’hésitez pas à reprendre des éléments discutés lors de l’entretien pour rafraîchir la mémoire du recruteur et lui signifier que vous êtes bien sur la même longueur d’ondes.
Rester courtois
Lorsque, malgré une relance, ils ne reçoivent pas de réponse, certains candidats ont tendance à adopter un ton qui laisse transparaître leur impatience voire leur énervement. C’est une erreur : ne pas se montrer professionnel est le meilleur moyen de se disqualifier durablement vis-à-vis d’un recruteur et de son entreprise. Votre interlocuteur peut par ailleurs être extrêmement sollicité et ne pas être disponible pour répondre rapidement à vos messages, dans ce cas, votre insistance excessive lui sera particulièrement désagréable. Gardez donc votre calme en toutes circonstances.
Répondre même si la réponse est négative
Si la réponse à votre relance est négative, ne vous laissez pas submerger par la déception et prenez le temps de lui répondre posément. En le remerciant pour le temps qu’il vous a consacré et en renouvelant votre souhait de travailler pour cette entreprise, vous terminerez ce processus de recrutement sur une note positive, ferez preuve de professionnalisme et laisserez ainsi une bonne image. Des atouts utiles au cas où de nouvelles opportunités se présenteraient dans cette même entreprise.
Attendre le moment propice
Tout l’art de la relance réside dans le choix du timing : il s’agit de ne relancer ni trop tôt, ni trop tard. Bien sûr ce savant dosage dépend des circonstances. On ne peut par exemple pas s’attendre au même délai de réponse de la part d’un grand groupe et d’une start-up. Le premier doit suivre des processus de recrutement extrêmement rigoureux et parfois longs tandis que la dernière peut être plus réactive. Le moment propice dépend également du poste que vous convoitez, s’il est à pourvoir immédiatement, vous pouvez relancer votre interlocuteur assez rapidement, à partir de 48h après l’entretien. Mais si le processus de recrutement semble peu urgent, il est de bon ton de laisser s’écouler trois ou quatre jours ouvrables. Avant ce délai, le risque est de faire peser une pression excessive sur votre interlocuteur et de l’irriter. Dans la plupart des cas, une relance au-delà de dix jours sera quant à elle trop tardive. Pour bien choisir son moment, l’idéal est bien sûr de demander lors de l’entretien une estimation du délai sous lequel on vous répondra.
Renouveler sa motivation
Un mail de relance ne doit pas se contenter de demander des nouvelles du processus du recrutement. Il est important de renouveler votre motivation pour le poste et de montrer que les informations que vous avez tirées de l’entretien vous ont confirmé dans vos intentions. N’hésitez pas à reprendre des éléments discutés lors de l’entretien pour rafraîchir la mémoire du recruteur et lui signifier que vous êtes bien sur la même longueur d’ondes.
Rester courtois
Lorsque, malgré une relance, ils ne reçoivent pas de réponse, certains candidats ont tendance à adopter un ton qui laisse transparaître leur impatience voire leur énervement. C’est une erreur : ne pas se montrer professionnel est le meilleur moyen de se disqualifier durablement vis-à-vis d’un recruteur et de son entreprise. Votre interlocuteur peut par ailleurs être extrêmement sollicité et ne pas être disponible pour répondre rapidement à vos messages, dans ce cas, votre insistance excessive lui sera particulièrement désagréable. Gardez donc votre calme en toutes circonstances.
Répondre même si la réponse est négative
Si la réponse à votre relance est négative, ne vous laissez pas submerger par la déception et prenez le temps de lui répondre posément. En le remerciant pour le temps qu’il vous a consacré et en renouvelant votre souhait de travailler pour cette entreprise, vous terminerez ce processus de recrutement sur une note positive, ferez preuve de professionnalisme et laisserez ainsi une bonne image. Des atouts utiles au cas où de nouvelles opportunités se présenteraient dans cette même entreprise.
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